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Amours A mort Amers

by Monmix

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1.
Un autre soir comme tous les soirs dans une alcôve d’un disco-bar Cimetière de beats en disgrâce que la sono me débite en pleine face Personne n’s’entend, personne n’se voit . Le m’as-tu-vu est aux abois Mates moi ces fesses, ce décolleté , cette jupe fendue, trop maquillée Elle se faufile, sort de la nasse . Rien ne transperce sa carapace Entre les rires et la torpeur . Elle joue son swing, prend d’la hauteur Il faudrait Remettre les pendules à l'heure, avoir un crédit bonheur Refaire les comptes à rebours, effacer l’ardoise en amour Caler toutes les mises au point que j’tire un peu plus sur mon joint Une ange passe et je suis sans défense Une ange passe et je sors de ma transe Une ange passe, revient l’heure des silences Un autre soir et c’est la soul qui se la coule et qui me saoule Mais rien ne change et c’est la nuit qui tisse sa toile et me détruit Une vie à courir à chercher , faire fi des regards égarés La nuit se perdre de mille facettes sous les miroirs aux alouettes Avec ma gueule de balafré et mon blason tout cabossé Je n’ai pas su l’interpeller, je suis un cas désespéré Je devrais Oublier tous les faux départs, patienter pour les retards Synchroniser nos attentes, échapper à cette mort lente Lâcher ce sordide whisky, arrondir les points sur les ï Une ange passe et je suis sans défense Une ange passe et je sors de ma transe Une ange passe, revient l’heure des silences Les rats s’agitent, la souris danse, la nuit n’est pas pour ceux qui pensent Quitter mes vapeurs oniriques. Ma vie n'a plus rien d'homérique M’accorderas-tu cette danse ou juste l’honneur de ta présence On peut même sortir faire un tour, parler de tout rêver d'amour Je n’ai pas d’affaire à régler , j’suis tombé d’la tombe d’à côté J'n'ai plus d'papier, j'n'ai plus d'adresse / j'ai tout brûlé à la grand-messe Je voudrais Juste quelques secondes à l’envers / débrayer, faire marche arrière Sortir de ce foutu désert , avoir consommé moins de bières Et tout reprendre à zéro, et tout reprendre à zéro Rien qu'une poussière dans les rouages, réveiller tes pulsions volages J'dois bien avoir au fond d'une poche, quelques sourires qui s'effilochent Viens je t'emmène dans un jardin, l'Eden brille au bout du chemin Laisses toi tenter par quelques pommes. Moi je veux bien devenir ton homme Et si pour toi ça ne suffit pas, je peux encore remettre ça Et si c'est toujours pas assez , je pourrais me remettre à aimer Tu pourrais Passer un peu plus souvent, réduire ma dette à néant M'offrir quelques pensées futiles / le temps d'un battement d'tes cils Lever les yeux sur moi, peut-être la prochaine fois
2.
Combien de paroles, combien de paroles faudra-t-il Combien de paroles, combien encore pour enterrer ses morts Combien de paroles, combien de paroles faudra-t-il Combien de paroles, combien encore Il court, il court, il court entre les bombes Il court, il court et même quand la nuit tombe Il court, il court, la belle a déserté son monde Combien de balles, combien de balles pour la même danse Combien de balles, combien d’accords pour meubler les silences Combien d'alliances, combien d'alliances entre les lignes Combien d'alliances, combien s’entassent, tout ça n’a aucun sens Elle fuit, elle fuit les affres de son esprit Elle fuit, elle fuit son amour sans merci Elle fuit, elle fuit ses désirs pervertis Combien de pactes, combien de pactes tatoués sur son corps Combien de pactes, combien s’effacent après le dernier acte Combien de vies, combien de vie entre elle et lui Combien de vies, combien de vies Tu fuis, tu fuis les affres de son esprit Tu fuis, tu fuis son amour sans merci Tu fuis, tu fuis, la Belle tu fuis son lit Tu cours, tu cours, tu fuis, tu fuis Tu cours, tu cours, tu fuis, tu fuis Combien de larmes, combien de larmes couleront-elles encore Combien de larmes, combien s’y noient avant de baisser les armes Combien de flammes, combien de flammes s’élancent vers les cieux Combien de flammes, combien aussi derrière leurs yeux Tu cours, tu cours, tu cours entre les bombes Tu cours, tu cours et même quand la nuit tombe Tu cours, tu cours, mercenaire vers ta tombe
3.
Je ne resterai pas ce soir, mes pensées courrent dans le lointain Tu peux bien sortir les mouchoirs, je n’attendrai pas le petit matin Je m'en vais reprendre la route pour aller où, je n'en sais rien Mais avec toi je n'manque de rien , j’ai comme une peur bleue du mot fin Je n'suis pas contre les draps défaits quand le soleil caresse tes jambes Jouer sur nos corps enlacés au réveil, t'as tout l'air d'un ange Mais ne dis rien je t'en supplie, le paradis moi j'y crois plus Ne pleure pas au pied du lit, du paradis, j'en suis revenu Reprendre la route, pour aller où, vivre de rien Sans l'ombre d'un doute, sans lendemain, sans garde-fou Reprendre la route, pour aller où, vivre de rien Sans l'ombre d'un doute, sans lendemain, sans garde-fou J'ai rêvé d'cette grasse matinée à l'air chargé des particules D’une riche odeur de café, j’ai besoin de percer la bulle Tu m'as mis là dans les nuages tant de passion qui l'aurait cru Mais si ce n'est pas un mirage, je ne veux pas tomber des nues Tu n'as rien à te reprocher sinon d'avoir touché mon cœur Nothing to say, nothing to lose J’veux pas avoir à en crever, je préfère partir avant l'heure Too much to say, too much to lose Tu peux frapper, vociférer, je n'aurai pas la prétention I’m just saying I miss the light De me défendre , de répliquer, je ne réclame aucun pardon I’m not coming home tonight Reprendre la route, pour aller où, vivre de rien Sans l'ombre d'un doute, sans lendemain, sans garde-fou Reprendre la route, pour aller où, vivre de rien Sans l'ombre d'un doute, sans lendemain, sans garde-fou I’m just saying I miss the light, I’m not coming home tonight Je ne resterai pas ce soir , je veux être maitre de ma chute Tu peux bien sortir les mouchoirs, je n'attendrai pas l'uppercut Reprendre la route, pour aller où, vivre de rien Sans l'ombre d'un doute, sans lendemain, sans garde-fou Partir noircir les étoiles avant qu'elles ne s'éteignent en douce J'veux pas subir, j'vais mettre les voiles Une pierre qui roule la mort aux trousses
4.
Entre deux horizons, j’ai égaré mon âme Entre deux horizons, que vos regards condamnent Entre deux horizons, éperdu sur les routes Entre deux horizons, j’ai craché sur mes doutes Entre deux horizons, la vie en pointillés Entre deux horizons, qu’est-ce que j’y ai gagné Entre deux horizons , et flambent les oripeaux Entre deux horizons, y laisser plus que ma peau Entre deux horizons, des bribes de souvenirs Entre deux horizons, saigner à n’en plus finir Entre deux horizons, et cette absence de choix Entre deux horizons, avais-je seulement le droit ? Entre deux horizons, mon cœur écartelé Entre deux horizons, pourrez-vous pardonner ? Entre deux horizons, trop plein de désespoir Je marche dans le noir You say I should, I say I did, You say don’t try, I say too late Tomorrow was a dream, Yesterday never born I woke up this morning, on this déjà-vu scene like a bird with a ring, a ball and chains between legs You say You should , I say don’t try, You say you did, I say I died Yesterday was so fine,Tomorrow is a crime I know I’m blind, You turn my lights off, Spitting your black ink, In my mind on each torchs Entre deux horizons , ce qui aurait pu être Entre deux horizons, est mort avant de naître Entre deux horizons, je cherche un arc-en-ciel Entre deux horizons, deux trésors qui sommeillent Entre deux horizons, c’est vos bouches qui m’appellent, m’appellent Entre deux horizons, à l’heure de faire les comptes Entre deux horizons, si les douleurs s’estompent Entre deux horizons, je n’ai pas pu choisir Entre deux horizons, ne reste que le pire Entre deux horizons, la capuche sur la tête Entre deux horizons, je vais seul à la fête I say I should, You say I did, I say don’t lie, You say too late Tomorrow was a dream, Yesterday never dies The darkness follows me Keeps my soul underground I miss you awfully, The madness’s all around I say you should, You say wake up, I say I fly, You say bye bye Yesterday was a cry, Tomorrow my ally
5.
Et la vie se consume et le soleil se lève indifférent au vent dans les branches qui s’en mêlent Entre mes lèvres je garde , je garde les stigmates Entre mes lèvres je garde les stigmates D’un adieu déposé à la hâte et je joue du briquet, je me joue du briquet Encore un dernier clope qui s’efface solitaire Un cendrier hors d’âge, petite prison de verre On y lit dans les cendres plus d’un lointain mystère Des oracles ont livré L’avant goût de l’enfer Elles se perdent, les volutes dans la brume matinale celles d’un ultime baiser comme celles d’un dernier râle Les mégots qui s’amassent C’est l’orage qui s’annonce Dans cet instant figé sur mon coeur qui renonce And here I am, so many years have gone, I kinda feeling down, feeling down, down Entre mes lèvres je garde, je garde les stigmates Entre mes lèvres je garde les stigmates D’un adieu déposé à la hâte et je joue du briquet, je me joue du briquet Le silence en impose tout au fond du jardin assis sur mon vieux banc au confort incertain En exil en sursis à l’abri des voisins il y en vu des culs se croiser en chemin Photos éparpillées sur la table bancale souvenirs à oublier c’est ma vie qui s’étale Y’a plus rien à jeter elles se tordent et noircissent torturer ces images c’est la fin de Narcisse And here I am, so many years have gone, I kinda feeling down, feeling down, down Entre mes lèvres je garde, je garde les stigmates Entre mes lèvres je garde les stigmates D’un adieu déposé à la hâte et je joue du briquet, je me joue du briquet Et la vie se consume et s’envolent quelques braises emportées par le vent dans les branches qui s’emmêlent Demain je serais là où tout du moins pas loin tu trouveras bien la croix au fond de mon jardin
6.
J’avais écrit un poème , je voulais juste te dire je t’aime Mais le courage m’a fait défaut, j’ai renoncé à l’échafaud Je n'serai pas ton Pierrot, j’ai renoncé à l’échafaud. Je n'serai pas ton Pierrot Ces paroles en pure perte de mes mains expertes Se trouvèrent repliées en quelques gestes appliqués Une symétrie parfaite sous mes yeux embués J’y ai troqué ma prose pour une humeur morose Le dos au mur du fond perdu dans mes visions Dans mes rêves de gamin demain peau de chagrin, peau de chagrin J’avais écrit un poème , je voulais juste te dire je t’aime Mais le courage m’a fait défaut, j’ai renoncé à l’échafaud Je n'serai pas ton Pierrot, j’ai renoncé à l’échafaud. Je n'serai pas ton Pierrot Elle se bat de guerre lasse au tableau la craie trace De belles droites uniformes, se noyer dans la norme D’un souffle rituel pour déployer ses ailes Avec lui, l’étincelle cherche à se faire la belle Mon avion de papier ne se fait pas prier Face aux douleurs béantes, il choisit la tangente La fenêtre entrouverte, il s’évade sans trompette Suit les courbes généreuses d’une brise malicieuse J’avais écrit un poème , je voulais juste te dire je t’aime Mais le courage m’a fait défaut, j’ai renoncé à l’échafaud Je n'serai pas ton Pierrot, j’ai renoncé à l’échafaud. Je n'serai pas ton Pierrot La fenêtre entrouverte, il s’évade sans trompette Suit les courbes généreuses d’une brise malicieuse Il s’envole avec classe sans crainte du temps qui passe Prend le temps de planer dans la cour de récré Mon avion de papier ne se fait pas prier Face aux douleurs béantes, il choisit la tangente La fenêtre entrouverte, il s’évade sans trompette Suit les courbes généreuses d’une brise malicieuse Avec lui, le message d’un enfant bien trop sage qui se plante en douceur au coeur du saule pleureur qui se plante en douceur comme la lame dans mon coeur qui se plante en douceur comme la lame dans mon coeur, dans mon coeur
7.
La première fois, c’était avant, quand tu pensais avoir le temps La première fois, c’était avant, du temps de ton sourire indécent Aime moi comme si c’était encore la première fois, encore une fois On peut blamer toutes ces années, je sais rien n‘est jamais gagné On pourrait faire semblant d’y croire, tu sais comme je m’accroche à l’espoir On irait dans la prairie, celle où fleurissent toutes les envies On se chercherait dans les blés un doux secret où se lover La première fois, c’était avant, quand tu pensais avoir le temps La première fois, c’était avant, du temps de ton sourire indécent Aime moi comme si c’était encore la première fois, encore une fois Tu te laisserais effeuiller, les yeux fermés sur les années Sans y songer sans t’inquiéter juste pour la jouissance de l’instant Quand deux corps ne font plus qu’un, quand se rejoignent deux destins On peut faire disparaître les traces que le temps a laissées sur place La première fois, c’était avant, quand tu pensais avoir le temps La première fois, c’était avant, du temps de ton sourire indécent Aime moi comme si c’était encore la première fois, encore une fois Et pour finir dans le silence, on garderait cette connivence A regarder les campagnols qui batifolent dans l’herbe folle Et ce serait comme si la vie nous offrait un nouveau sursis Comme si rien n’avait jamais existé depuis ce cher et tendre passé La première fois, c’était avant, quand tu pensais avoir le temps La première fois, c’était avant, La première fois, c’était avant
8.
Don du sang 03:28
J'en ai sucé des vies, jusqu'à la lie, j'en ai volé des âmes Sans état d'âme, Pourquoi la tienne me laisse ce goût amer ? J'ai fait de toi une amante des enfers Dans les bas-fonds de Londres ou ceux de Buenos Aires Toujours ces êtres sans couleurs, sans chaleur C'est Paris, Paris, qui m'a troublé l'esprit , c'est Paris, Paris et c'est toi qui m'a pris, Est-ce que je t'ai donné assez aujourd’hui? Ou bien est-ce déjà un peu trop lourd à porter , Comment tu veux que je t’oublie? Une douce mélopée couvre les lueurs de la ville que j’ausculte En sombre saigneur de mon refuge sur les hauteurs du Sacré-cœur Leur sang coulait dans mes veines, leur râle nourrissait ma peine J'ai perdu depuis longtemps toute considération Pour ces flammes si fragiles qu'on souffle un jour de fête Ces papillons qui se heurtent aux néons Et qui courent sans savoir qu'ils ont perdu la tête Mais c'est Paris, Paris, qui m'a troublé l'esprit C'est Paris, Paris , Paris .... c'est toi qui m'a pris A cheval sur ces gargouilles d’albâtre, j'entends au loin ton cœur Qui a cessé de battre, le jour amorce un lent retour A l'horizon le ciel soigne sa gamme de bleus Et moi je panse ma plaie en t'écoutant dormir, L'astre s'en vient Et je n'ai plus besoin de rien C'est Paris, Paris, qui m'a troublé l'esprit C'est Paris, Paris, Paris, ... c'est toi qui m'a pris Est-ce que je t'ai donné assez aujourd’hui? Ou bien est-ce déjà un peu trop lourd à porter , Comment tu veux que je t’oublie? Encore un siècle ou deux ou trois Et tu verras que tout l'émoi Que tu avais toi pour moi Ne sera plus qu'un souvenir sur les toits Paris, Paris, Paris , c’est toi qui m’a pris
9.
Faux positif 03:14
Les tests étaient pourtant formels, j’avais enfin trouvé ma belle Nouvelle romance artificielle. Confondre le miel et le fiel T’as fait l’amour sur négatif , encore un faux positif Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif Du côté baise je devais pas m’en faire, un 5 à 7 sur l’échelle de Richter Voir s’affoler les compteurs Geiger, sur le menu : entrée, plat et dessert Face à l’écran de belles promesses, docile, fournie avec la laisse Le lâcher-prise jusqu’à l’ivresse. Se perdre dans son corps de déesse Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif T’as fait l’amour sur négatif . Encore un faux positif Mais où donc avais-je la tête ? Trois clics et se réveille la bête Un nouveau profil se dessine comme on feuillette un magazine Au réveil un goût amer et très vite les tripes à l’envers La gueule blafarde dans le miroir qui m’assassine le regard noir T’as fait l’amour sur négatif , encore un faux positif Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif Cette vidéo qui tourne en boucle. Est-ce vraiment moi ce sombre bouc ? Sur les réseaux comme dans un souk, la déchéance mon nouveau look Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif T’as fait l’amour sur négatif . Encore un faux positif J’ai/t’as fait l’amour sur négatif , encore un faux positif Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif J’ai/t’as fait l’amour sur négatif . Encore un faux positif J’ai/t’as fait l’amour sur négatif , encore un faux positif Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif Un bateau ivre sur les récifs, sombrer toujours les nerfs à vif J’ai/t’as fait l’amour sur négatif . Encore un faux positif Avec des répliques extraites de quelques films cultes (les valseuses, les bronzés , la vie est un long fleuve tranquille, raging bull, le mépris...)
10.
Quand se déchaine les vents, que déferle l'océan de ses cris, je me fais tout petit Quand se déchainent les vents, mon sublime ouragan Emporte sur son passage, mes filets d'arrimage, cette fille part en vrille, Elle a un grain c'est certain que rehausse son fond de teint, Elle a mis dans le mille, cette fille part en vrille, elle fait feu de tout bois Ses coups bas me torpillent et j'en tombe en émoi Quand montent les décibels, la fureur la rend si belle et c'est quand je m'interpose, que vient l'apothéose Quand montent les décibels, les murs de ma prison dorée tremblent de plus belle, au bagne ma passion Haine moi comme ça, c'est là toute l'histoire avec elle qui en fait, tant et tant, des histoires Je ne sais pas pourquoi elle s'met dans ces états Haine moi comme ça, c'est là toute l'histoire avec elle qui en fait, tant et tant, des histoires Toujours aussi barrés, d'alpha en oméga, haine moi comme , haine moi comme ça A quoi bon briser la vaisselle quand tout son corps vole en éclats Il suffirait d'une étincelle pour qu'aussitôt elle remette ca A quoi bon briser la vaisselle, résister faire la sourde oreille Moi je me noie dans ses débris de lapis-lazuli Cette fille est une bombe, atomique dans mon coeur l'hécatombe, Suivi du choc thermique, cette fille est une bombe, Et monte la panique je suis le pantin d'outretombe, d'une comédie tragi-comique Haine moi comme ça, c'est là toute l'histoire avec elle qui en fait, tant et tant, des histoires Je ne sais pas pourquoi elle s'met dans ces états là Haine moi comme ça Haine moi comme ça, c'est là toute l'histoire avec elle qui en fait, tant et tant, des histoires Toujours aussi barrés, d'alpha en oméga, haine moi comme , haine moi comme ça Un tsunami verbal, qui me laisse à chaque fois au pied du piédestal, sans voix, sans voix Un tsunami verbal qui sans répit m'enfonce dans la forêt de ronce, terreau des fleurs du mal Chacune de ses répliques ponctuent le souffle épique de secousses terre à terre, mon séjour en enfer Chacune de ses répliques, refluent dans mes artères mon sang part en gimmicks c'est l'heure de prendre l'air Ces éclairs obscurcissent son regard assassin qui balaie en coulisse mon désir inhumain Des éclairs obscurcissent mes ardeurs à dessein, l'heure n'est pas aux délices, je reste sur ma faim Aux moments d'accalmie, je résiste à l'envie de la prendre par les hanches, gare aux risques d'avalanche Aux moments d'accalmie, front de mer, écume blanche je compte mes points de vie, j'attends, je fais la planche , ces moments d'accalmie d'un amour en sursis , compter mes points de vie, mon credo favori Haine moi comme ça, c'est là toute l'histoire avec elle qui en fait, tant et tant, des histoires Je ne sais pas pourquoi elle s'met dans ces états là Haine moi comme ça Haine moi comme ça, c'est là toute l'histoire avec elle qui en fait, tant et tant, des histoires Toujours aussi barrés, d'alpha en oméga, haine moi comme , haine moi comme ça
11.
Insurgée 05:00
Take a seat but stand alone. Take a stone and throw it far. We break walls , the world stays still. The best ever seen, best ever sin. The beach is not under your feet. Strangers in the street... welcome to the new age. Les autres se sont déjà enfuis, j'rentre seul du parc Mont-souris Et j’hésite sur la route à prendre Je laisse derrière moi des miettes sur lesquelles les pigeons se jettent On peut encore choper ce train, toi et moi partir l’air de rien Quitter ces terres abandonnées, Où règnent les morts et les vautours, j’ai deux billets aller sans retour J’ai pris la sortie de secours mon amour, j’ai fui le compte à rebours Même si je suis épris de toi mon amour, j’ai pris la sortie de secours Besoin de changer d’air, viens avec moi mon amour Retrouver les chemins sans lendemain Même si ça n’peut durer toujours, viens avec moi mon amour It’s no time to face down, the time has come to fight, fight, fight It’s no time to face down, let’s stand up and fight, fight Les derniers révolutionnaires ont quitté le navire amers De part et d'autre, les jeux sont faits Le doigt tendu comme une trique, les temps sont durs, même en musique Sur le fil entre nos deux mondes, j’ai capté tes pleurs sur les ondes gravés dans ma réalité Je marche comme dans un mauvais rêve à l’heure où le soleil se lève J’ai pris la sortie de secours mon amour, j’ai fui le compte à rebours Même si je suis épris de toi mon amour, j’ai pris la sortie de secours Besoin de changer d’air, viens avec moi mon amour Retrouver les chemins sans lendemain Même si ça ne peut durer toujours, viens avec moi mon amour It’s no time to face down, the time has come to fight, fight It’s no time to face down, stand up and fight, stand up and fight Tu m'avais dit 'rien n'est joué', que tous les autres allaient payer T'étais notre muse et notre icône Mais t'es tombée sur la colline, y'a pas de combat sans victime Un fantôme me tient par la main, Il m’entraîne le regard serein Par delà toutes les barricades Il s'en va sans laisser de trace, au loin devant rien ne s’efface
12.
Mon ombre 02:50
Mais putain où est-elle, Cette salope invisible, qui attend mon zénith, pour se tirer en douce ? La petite Lili la tigresse, peut bien mourir noyée, j'ai d'autres affaires en cours, je serai à la bourre. Ne me dérangez pas, ne m'interrompez pas Je n'dois pas perdre le fil et r'tomber dans mes errances car je suis, je suis, je suis à la poursuite de mon ombre Quant à ma bande de potes, qu'ils se passent de moi, je ne suis pas leur mère, je n'ai pas qu'ça à faire. Mon ennemi de toujours, s'impatiente à son tour, personne sur qui faire mouche, désolé je raccroche. Ne me dérangez pas, ne m'interrompez pas Je n'dois pas perdre le fil et r'tomber dans mes errances car je suis, je suis, je suis à la poursuite de mon ombre Et même la pauvre Wendy a perdu à mes yeux son innocence chérie, j'ai déjà trop grandi Et même ma tendre Wendy a perdu à mes yeux, le charme de l'inédit, je suis déjà trop vieux. Alors ne me dérangez pas, ne m'interrompez pas, Ne m’faites pas perdre le fil et r’tomber dans mes errances car je suis, je suis, je suis à la poursuite de mon ombre... à la poursuite de mon ombre... à la poursuite de mon ombre...
13.
Danse la mort, pas loin d’ici C’est quand même mieux comme ça En tout cas c’est comme ça que je vis depuis... Je me faufile dans la foule, avalé par la houle Et ce rythme lancinant qui me brise les tympans Danse la mort avec la vie , danse sur le fil à l’infini Sur un pied plutôt qu’assis Aux aguets au bord du quai Et si ce train, c’était le dernier La fin peut bien venir , la vie fut un plaisir Pas besoin de prévenir, ne surtout pas prévenir Depuis... Danse la mort avec la vie , danse sur le fil à l’infini Si c’est demain,je passerais bien ce matin Si c’est demain,seras-tu là pour moi ? Et si t’ouvres pas, si ta porte reste close Au fond peu m’importe.. Éviter l’overdose Depuis... Danse la mort avec la vie , danse sur le fil à l’infini (J’dis rien) Si c’est demain, (demain) Ça s’ra tout aussi bien, Si c’est demain, (J’veux bien), J’passerais bien chez toi, (C’matin) (j’dis rien) Seras-tu là Pour moi ? Danse la mort avec la vie , danse sur le fil à l’infini Je garde à fleur de conscience quelques réminiscences Des héros que je fus, de ceux que je ne serais pas Je m’éparpille en chemin . Ai-je du sang sur les mains ? Mon esprit démissionne, sur tes pas je m'affole Danse la mort ........ Danse la mort, pas loin d’ici En tous cas, c’est comme ça que je vis Depuis , depuis, depuis...
14.
Comment pourrais-je te retrouver, moi qui ne sais même pas qui tu es Si tu savais, si tu savais, quels territoires j’ai arpentés... J'ai même songé pour t'attirer, aller cueillir sur Bételgeuse Des fleurs au parfum saturé, des fragrances pour une fin heureuse (R) Et je dérive, je dérive, poursuis ma quête, à moitié ivre l’autre moitié je l’ai révée, et c’est bien tes yeux qu’elle avait Aller pécher dans ces trous noirs, de vraies pépites nées du hasard Juste pour éclairer ton regard, prisme d'éternel quand vient le soir Pour toi ma belle je n’irai plus, ramper sur Terre à même la rue Je n'irai plus courir la gueuse, tu es la seule, ma nébuleuse (R) Et je dérive, je dérive, poursuis ma quête, à moitié ivre l’autre moitié je l’ai révée, et c’est bien tes yeux qu’elle avait Se jouer des météorites, slalomer entre ces météores (Nebula, ma nebuleuse à moi) L'amour se gagne-t-il au mérite, avec l'orgueil d'un matador ? (Nebula, nebuleuse, attends moi) Pour décrocher ta lune, je passe mes nuits sur la grande hune (Nebula, Nebula, attends moi) Je m'accoquine aux feux de Saint-Elme, jusqu'au retour du matin blême (Nebula, où es-tu, j’te vois pas) (R) Et je dérive, je dérive, poursuis ma quête, à moitié ivre l’autre moitié je l’ai révée, et c’est bien tes yeux qu’elle avait Me diras-tu où tu te caches ou faudra-t-il que je t'arrache tous tes secrets éparpillés; au tamis l'univers entier Nebula, you’re far away, so far away from my reality You are so close to me to my heart, my sould, my head and in my dreams Sur ma galère en panne d'essence, le pouce tendu à contre-sens J'erre éperdu sur la voie lactée, je ne sais plus à quoi me vouer Qu'importe les impasses, les détours; des crochets, des directs, j'en ai reçus plus qu'à mon tour J'ai surfé sur la comète de Halley et sur tant d'autres singularités (R) Et je dérive, je dérive, poursuis ma quête, à moitié ivre l’autre moitié je l’ai révée, et c’est bien tes yeux qu’elle avait En attendant, j’attend, un signe de toi, un petit point là-bas J’attend encore, j’attend longtemps, j’attendrai le temps qu’il faudra I’m not ready to settle down, I’m not ready to settle down C'est porté par mon élan, que je pars brasser la matière noire Plonger au plus profond des pulsars, je ne crains plus rien du néant Un face à face plein d'entropie, contrepoids de la Big Bang Theory, Pourquoi subir tant d'inertie, après avoir croisé tes yeux gris (R) Et je dérive, je dérive, poursuis ma quête, à moitié ivre l’autre moitié je l’ai révée, et c’est bien tes yeux qu’elle avait Où te caches-tu mon éros, j'attends un signe du cosmos Un murmure d'une étoile filante, toi tu persistes à te faire fuyante, fuyante, fuyante Et je bénis la géante rouge, qui t'as bercée, qui t'as nourrie, Ma nébuleuse tu dois avoir, accompagné tellement de vies Je rêve d'un jour à tes côtés, où j'écouterai tes histoires Pour m'endormir à ton chevet, paisibles auprès d'une naine noire (R) Et je dérive, je dérive, poursuis ma quête, à moitié ivre l’autre moitié je l’ai révée, et c’est bien tes yeux qu’elle avait J'espère toujours dans ce chaos, revoir l'écho de ton halo (x2), Dans cet abime infini, ma diégèse tu hantes mes nuits Dans cet abime infini, ma diégèse hante encore mes nuits.

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released December 3, 2017

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